1. |
intro
01:10
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2. |
L'emprise de la sorcière
02:04
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Triste nuit
des ombres dansent
sur bambin maudit
hurlements des abysses.
Rituel macabre
enveloppe mon âme
lune ardente
vision du chaos
athamé calice
bois le sang
innocent.
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3. |
Vent mauvais
05:43
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Errance illuminée sous une pluie de lune,
mon corps danse dans des temps d'oublis ;
grave le néant dans mon esprit,
nuit menaçante qu' un vent mauvais ;
pourrissait ...
Un cadavre danse sous la pluie,
il chantonne cette mélodie
aux entrailles pourries de la nuit !
Quelque-chose de fade c'est accompli,
grince dans mon crane de mornes litanies ...
Une ombre immonde inonde ma flamme ;
ère sur cette terre, répand une odeur de merde.
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4. |
Nique ta morte
06:01
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Nuit de mes désirs sombres, amante macabre,
dansent les entrailles de la mort, dans l'union de la chaire ;
profaner ta funeste carcasse, de mon désir
dépravé !
Je suis chaleur contre tout destin,
je suis lumiére qui ne vois rien,
un peu de sang sur les seins
et du foutre entre les reins !
Rituel oc'cul'te
ballet mortuaire ...
L'orgasme est pourri, dans la rigidité de ta crasse,
fatale promise, au prince charmant des mortes ...
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5. |
Ode a l'indicible
08:07
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Nuit tombe encore, sur l'espoir amer ;
ode à l'indicible qui rode, d'un ravissement torturé ...
Lune brille d'or, sur ce rêve putride ;
illuminant de ternes paysages déchus ...
Mort rit plus fort, tremblez mes sens ;
souffle dans les feuilles, une brise en deuil ...
Chute mon être, sur ta face, dans ta crasse !
Vole esprit, dans les sombres recoins de l'oubli ...
Pris de bien mauvais êtres car ta fin va naître !
Délicieuse douleur qui profane mon cœur,
précieuse douleur qui transcende ma peur,
languis et monotone je m'adonne à tes symboles.
Sans que personne ne témoigne, coupe cette chaire infâme !
Commence alors le rituel, un vivant dans ces derniers supplices,
servira de son sang l'éternel du plus beau des sacrifices ...
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6. |
En chiant
03:54
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En chiant l'aultre hyer senty
La guabelle que à mon cul doibs ;
L'odeur feut aultre que cuydois :
J'en feuz du tout empuanty.
O ! si quelc'un eust consenty
M'amener une que attendoys
En chiant !
Car je luy eusse assimenty
Son trou d'urine à mon lourdoys ;
Cependant eust avec ses doigtz
Mon trou de merde guarenty
En chiant.
Rabelais, Gargantua, 1534
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7. |
Jour nouveau
03:08
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